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| DES OVNIS DANS L'ANTIQUITÉ | |
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INSPACEMETAL SuperModo
Messages : 1666 Date d'inscription : 01/06/2012 Age : 54 Localisation : Anet 28 Eure et Loire
| Sujet: DES OVNIS DANS L'ANTIQUITÉ Jeu 2 Aoû - 23:12 | |
| DES OVNIS DANS L'ANTIQUITÉ
Julius Obsequens, historien romain païen du IVe siècle, dans son "livre des prodiges" parle :
"De trois lunes qui apparurent dans le ciel de la mer Égée et de la détonation épouvantable qui accompagna l'apparition d'un globe de feu du côté du septentrion".
Il relate dans son œuvre nommée Prodigia qu'en 216 av. JC, " des choses comme des nefs furent vues dans le ciel " de l'Italie"
Trois soleils resplendirent en même temps cette nuit dont je parle et plusieurs étoiles traversèrent le ciel à Lanuvio, en 175 avant J.C..
A Capou, on vit, au milieu de la nuit, le soleil et, le même jour, à Formie, deux soleils apparurent ensemble...
En 122 avant notre ère, en Gaule, apparurent trois soleils et trois lunes.
En 91 avant notre ère, près de Spolète, une boule de feu jaune roula sur le sol,
grandit puis remonta vers l'Orient en se faisant si grosse qu'elle cacha le soleil."
Pline l'Ancien, 30-79 ap. JC à Rome, dans histoire naturelle, relate :
"Le vol d'un bouclier de feu (clypeus, bouclier rond) qui se propulsa d'est en ouest en jetant des étincelles vers l'an 100 av. J.C."
"Des barres brillantes apparaissent dans le ciel, semblables à celles qu'on vit après la défaite de la flotte
qui coûta aux Lacédémoniens leur suprématie en Grèce ; Une étincelle détachée d'une étoile augmente de volume en se rapprochant de la terre et,
après avoir atteint la taille de la lune, diffuse une faible clarté pour se retirer ensuite dans le ciel sous la forme d'une torche.
Ce phénomène s'est passé sous le consulat de G. Octavius et de C. Siribonius et il eut pour témoins le proconsul Sclanius et ses amis
On voit aussi des étoiles « aller dans toutes les directions sans qu'on sente le moindre vent se lever »
Sous le consulat de Valerius et de G. Martius, une plaque de feu ronde traverse le ciel au coucher du soleil,
de l'occident à l'orient, en laissant des traînées d'étincelles. "
Sénèque, vers 4 - 65 ap. JC dans Questions naturelles :
" On discute pour savoir si on doit considérer comme de la même sorte les barres tonnantes
et les météores tonnants dont l'apparition est assez rare ; et ces boules de feu qui se rencontrent et qui dépassent parfois la taille du soleil (...)
et ce ciel enflammé dont l'histoire fait souvent mention ; et cette lumière parfois si puissante qu'on la confond avec celle des astres,
et quelquefois si faible qu'on peut la prendre pour un incendie lointain "
Cicéron, dans De Divinatione , livre I, Chap. 43, 50 avant J.C :
"Combien de fois le sénat n'a-t-il pas ordonné aux décemvirs de consulter les livres sibyllins.
Dans combien d'affaires et combien souvent ne s'est-il pas conformé aux indications données par les haruspices !
Par exemple quand le soleil a paru se dédoubler, quand on a vu trois lunes, quand des lueurs semblables à des torches allumées sont apparues dans le ciel,
quand la nuit la lumière solaire a resplendi, quand un fracas s'est fait entendre au firmament,
quand la voûte céleste a semblé s'entrouvrir et qu'on a cru apercevoir des globes par delà."
Tite-Live, dans " L'Histoire Romaine :
"Dans la province d'Amiterna, on vit en de nombreux endroits, l'apparence d'hommes vêtus de blanc venant de très loin .
Le globe du soleil devint plus petit. A Praeneste, des lampes , à Arpia, un bouclier et des vaisseaux fantômes sont apparus dans le ciel."
Ramayana, texte Hindou IIIe siecle av. J.C. et IIIe siecle ap. J.C. :
Note : le terme vimana est utilisé en hindi moderne (langue officielle de l'Union indienne) pour décrire un avion.
"Solide et durable doit être fait le corps du vimana, comme un grand oiseau Volant fait de matière légère.
A l'intérieur doit être mis le moteur à mercure avec son appareil métallique chauffant en dessous.
Grâce à la puissance latente dans le mercure qui permet le déplacement, un homme assis à l'intérieur peut voyager à grande distance dans le ciel.
Les mouvements du vimana sont tels qu'il peut monter verticalement, descendre verticalement,
s'incliner en avant et en arrière. Avec l'aide des machines, l'être humain peut voler dans l'air et finalement revenir sur le sol. "
Srimad - Bhagavatam, texte Hindou, classique de la littérature védique :
"Voici maintenant le grand chariot de Vata ! La destruction vient avec lui et le tonnerre est son bruit.
Les cieux il touche, faisant rougeoyer la lumière et fait tourbillonner la poussière sur la terre "
Rig-Veda, le plus ancien des textes hindous appelés Vedas. :
"Un chariot aérien, le Pushpaka, transporte beaucoup de personnes à la capitale d'Ayodhya.
Le ciel est plein de machines volantes suspendues, aussi noires que la nuit, mais pleines de lumières avec un halo jaune. "
"Le cruel Salva est arrivé monté sur le chariot Saubha qui pouvait aller n'importe où, et de lui,
il a tué beaucoup de jeunes vaillants Vrishni et à méchamment dévasté tous les jardins de la cité. "
Mahabharata, épopée sanskrite de la mythologie Hindou :
"Il s'accrocha à son Saubha dans le ciel, à une longueur d'avance… il me jeta des lances, des pointes,
des haches, des javelots, des torches, et sans aucune pause… le ciel semblait contenir des centaines de soleils, une centaine de lunes…
et des myriades d'étoiles. A ce moment, il n'était plus possible de faire la différence entre le jour et la nuit. "
"Le vimana occupé par Salva était mystérieux. Il était si extraordinaire que quelquefois beaucoup de vimanas pouvaient apparaître dans le ciel,
et parfois aucun n'étaient visible. Quelquefois le vimana était visible et quelquefois pas, et les guerriers de la dynastie Yadu étaient perturbés par ce vimana spécial.
Quelquefois ils pouvaient le voir sur le sol, quelquefois voler dans le ciel, quelquefois rester sur le sommet d'une montagne et quelquefois flotter sur l'eau.
Le vimana merveilleux volait dans le ciel comme un tison tourbillonnant. Il n'est pas resté sur place un seul moment."
Boital Pachis, légende Hindou :
"Et voici q'une nuit de la saison chaude, alors qu'ils étaient tous les deux endormis profondément sur le toit en terrasse de leur maison d'été,
le voile de la jeune femme glissa de son visage. A ce moment un demi-dieu traversait les airs dans son char.
Son regard tombât tout à coup sur elle ; il fit descendre son char, pris la femme à son bord, encore endormie, et l'emporta.
Quelques temps après le brahmane se réveilla. Hélas ! sa femme n'était plus auprès de lui. Pris d'inquiétude,
il la chercha dans toute la maison, fouilla toutes les rues de la cité, en vain.
"Qui a pu l'enlever ? se lamentait-il, où est elle donc allée ?" Son chagrin lui fut fatal.
Il mangea du riz qui avait été empoisonné par un serpent, et mourut."
Tibet, "Naissance du Monde", Au Tibet, éd. du seuil. Selon la doctrine dite "la plus secrète" du vieux Tibet :
"Le premier ancêtre de la famille Rlangs était venu d'en haut, «Après avoir traversé neuf couches atmosphériques »,
atterrissant sur une haute montagne pour se faire roi chez les hommes. Il était,
dit-on, apparenté à six nains (ou êtres de petite taille), lesquels pouvaient à leur gré descendre du ciel et y remonter."
L'Enéide, Livre II, vers 692 et sq., Avant J.C. :
"... A peine eut-il parlé que le tonnerre retentit à gauche ; Un astre détaché du ciel sombre, courrut en rayonnant une vive lumière.
Nous le vîmes descendre jusque sur le toit du palais, puis s'en aller vers la forêt du mont Ida pour y dissimuler sa clarté,
laissant derrière lui un long sillage de lumière. Une odeur de souffre fumant remplit les lieux.
Alors mon père, vaincu, se lêve, invoque les dieux et adore l'astre sacré."
On notera que le Mont Ida, territoire réservé et consacré à Cybèle, était pour virgile le point de ralliment des Corybantes (ou Khéroubim).
Chroniques du Nihongi, Japon, remonte de la nuit des temps et s'arrête en 697 après J.C. :
"Depuis le moment où notre aïeul céleste descendit sur terre jusqu'à aujourd'hui,
un million sept cent quatre-vingt-douze mille quatre cent soixante-dix années se sont écoulées."
"J'ai entendu de la bouche de l'Ancien de la mer qu'à l'est existe un beau pays entouré de montagnes
qui plus est, il y a là Celui qui descendit du Ciel en conduisant une barque oscillante."
L'évèque grégoire de Tours, (historien de Charlemagne) dans "Histoire des Francs" :
"Il évoque un mystérieux passage de "globes de feu" (en 583).
Il vit « une grande sphère descendre comme un éclair dans le ciel de l'Est vers l'Ouest.
C'était si brillant que le cheval du monarque rua et que Charlemagne se blessa sévèrement en tombant » .
"William de Newburghs, dans ses "Chroniques" en 1290 raconte :
" qu'un objet rond, plat et argenté vola au-dessus de l'Abbaye en causant une grande frayeur."
Les historiens d'Alexandre le Grand, rapportent :
"l'apparition de « grands boucliers argentés, jetant du feu autour de leur bord » qui survolèrent l'armée du grand Alexandre."
Hérodien, 170-240, dans "Histoire de l'Empire après Marc Aurèle", livre 1 :
"De grands prodiges arrivèrent en ce temps là... On voyait souvent en plein jour des étoiles suspendues en l'air "
Charlemagne, roi de France dans les Capitulaires de l'Empereur,
"déclara que ces Sylphes et leurs engins étaient capables de déchaîner les tempêtes.
Il était décidé à leur donner une chasse impitoyable jusqu'à ce que, finalement, il y renonçât.
En effet, en accord avec Louis le Débonnaire, Charlemagne rendit des édits qui condamnaient à la torture et à la mort ces Sylphes, ou tyrans de l'air.
Le 1er chapitre des Capitulaires de l'Empereur est significatif à l'égard de ces entités cosmiques et des activités dont elles étaient responsables.
Il nous apprend que les Aériens étaient boulversés de constater qu'ils répandaient la terreur dès leur apparition dans les cieux.
Cela les incita à se poser dans leurs véhicules volants et à se saisir des hommes et des femmes.
Ils voulaient ainsi les instruire pour dissiper la mauvaise opinion que les gens avaient de leur innocente flottille."
Thoutmès III, Pharaon de l'Egypte ancienne (1504-1450 avant J.C.) dans un papyrus (papyrus de Tulli) faisant partie de ses annales :
" En l'année 22, au 3ème mois de l'hiver, à la sixième heure du jour...
Les scribes de la Maison de la Vie virent que c'était un cercle de feu qui apparaissait dans le ciel...Il n'avait pas de tête et son haleine avait une odeur fétide.
Son corps était long d'une perche et large d'une perche. Il n'avait pas de voix.
Comme il jetait la confusion dans leurs coeurs, ils se prosternèrent à plat ventre... Ils se présentèrent à Pharaon... pour le lui raconter.
Sa Majesté ordonna... Ainsi tout est écrit dans les rouleaux de papyrus de la Maison de la Vie.
Sa Majesté méditait et songeait à cet évènement. Or, au bout de quelques jours, ces choses devinrent encore plus nombreuses dans les cieux.
Les cercles de feu brillaient dans le ciel, plus que le soleil, et s'étendaient aux bornes des quatre soutiens du ciel... L'armée de Pharaon les considérait.
Sa Majesté se tenant au milieu. C'était après souper. Alors ces cercles de feu montèrent plus haut dans le ciel, vers le sud.
Des poissons et des volatiles tombèrent du ciel. Une merveille jamais observée depuis la fondation de la nation
et Pharaon fit apporter de l'encens qu'il brûla afin d'attirer la paix sur le foyer...
Et ces évènements furent inscrits sur l'ordre de Pharaon dans les annales de la Maison de la Vie... afin qu'ils ne soient jamais oubliés. "
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